La proposition de la Commission pour la Politique agricole commune post-2020 donne plus de flexibilité aux États membres dans l’application des règles et dans leur adaptation aux spécificités nationales.
L’exécutif européen estime que le nouveau modèle de mise en œuvre proposé pour la Politique agricole commune (PAC) permettrait de rendre les dépenses plus efficaces et de mieux gérer ses effets au niveau national.
Ses détracteurs estiment cependant que ce modèle ne permettra pas de garantir l’impact réel des financements européens sur les objectifs communs, notamment ceux liés au climat.
-
Une nouvelle PAC plus flexible se profile
Le nouveau budget de la Politique agricole commune devrait s’appuyer sur une approche scientifique avec des objectifs multiples. Au risque de créer 27 régimes différents.
-
La Cour des comptes doute de l’ambition verte de la PAC
La complémentarité de la Politique agricole commune post-2020 avec les objectifs de lutte contre le changement climatique reste un grand défi, estime la Cour des comptes de l’UE.
-
La France espère une future PAC plus verte
Paris veut mettre l’accent sur les mesures de verdissement de la future Politique agricole commune, afin de soutenir la transition vers l’agroécologie.
-
Plus d’objectifs et moins de fonds pour la nouvelle PAC
La PAC devrait bénéficier de moins de fonds après 2021. Pourtant, elle a de plus en plus d’objectifs. Comment faire plus avec moins ? Un article d’Euractiv Allemagne.
-
Les eurodéputés divisés sur la définition de l’agriculteur dans la future PAC
Les discussions sur la PAC post-2020 ont enfin commencé au Parlement européen. Les eurodéputés semblent encore loin de s’accorder sur la définition du statut d'agriculteur, qui conditionne les subventions.