Les plans stratégiques nationaux de la Politique agricole commune (PAC) ne sont pas à la hauteur des ambitions environnementales de l'UE, selon un rapport de la Cour des comptes européenne (CCE).
La Chine a annoncé jeudi 29 août qu’elle n’imposerait pas de droits de douane sur le brandy européen, ce qui semble signifier que les tensions avec l'Union européenne (UE) sont en train de s'apaiser, bien qu'une enquête de Pékin ait conclu à du dumping.
Selon un rapport du groupe de réflexion Ember, l’Europe centrale pourrait produire jusqu’à 191 TWh d’électricité par an en développant de l’énergie photovoltaïque sur des zones agricoles, soit plus que la consommation électrique totale de la Pologne en 2022.
La Chine a lancé une enquête anti-subventions sur les produits laitiers importés de l’Union européenne, plaçant une fois de plus le secteur agroalimentaire européen au premier plan des tensions commerciales entre Pékin et Bruxelles.
Lors d’un entretien avec Euractiv, le commissaire sortant à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski, a qualifié d’« inacceptable » le fait de disposer d’un budget européen basé sur des conditions politiques et des échéances, comme c’est le cas pour le fonds de relance post-pandémique de l’UE.
Les ONG ClientEarth et BirdLife Europe ont présenté mercredi (24 juillet) une plainte à la Médiatrice de l’UE concernant la décision de la Commission européenne d’assouplir certaines exigences environnementales de la Politique agricole commune (PAC).
La présidente de la Commission européenne s’est engagée pendant les négociations avec les Verts/ALE la semaine dernière, à intégrer l’agriculture dans le Green Deal, tout en garantissant que les agriculteurs puissent bien gagner leur vie.
Le nouveau gouvernement britannique de centre gauche s’est engagé à soutenir l’agriculture et à donner la priorité à la sécurité alimentaire, mais des questions subsistent quant aux projets du Parti travailliste concernant les politiques agricoles après le Brexit.
Les ministres de l’UE ne sont pas parvenus à un accord unanime sur leurs conclusions concernant l’avenir de l’agriculture lors d’une réunion en raison d’un désaccord sur l’alignement des subsides de la Politique agricole commune (PAC) attribués aux États membres.
Les ministres au sein du Conseil de l’UE se sont mis d’accord sur un texte de compromis concernant la révision de la directive sur les déchets alimentaires et textiles, même si certains États membres déplorent son manque d’ambition.
L’exécutif de l’UE a publié une proposition levant l’obligation pour les États membres d’effectuer la majorité des contrôles de conformités des exploitations agricoles liés à la Politique agricole commune (PAC) au moyen de photos géolocalisées d’ici 2027.
L’ONG de défense du bio en Europe (IFOAM) vient d’obtenir un accord pour que la France mette fin au label Eco-score évaluant l'impact environnemental des produits alimentaires, lequel serait « trompeur » pour les consommateurs et enfreindrait le règlement européen sur le bio.
Moins bien placés qu'il y a cinq ans dans leurs listes respectives, la plupart des actuels eurodéputés français spécialistes des questions agricoles pourraient ne pas être réélus cette fois-ci. Une stratégie qui interroge, alors que les enjeux agricoles semblent plus centraux que jamais.
L’exécutif européen a facilité jeudi l’exemption des agriculteurs des exigences pour recevoir les subventions de la Politique agricole commune (PAC) en cas d’événements météorologiques exceptionnels et proposera la semaine prochaine d’assouplir l’obligation d’utiliser des photos géolocalisées à des fins de contrôle.
Arnaud Rousseau, patron du premier syndicat agricole français, se réjouit de voir la souveraineté alimentaire s’imposer dans le débat politique, et appelle à la nomination d’un commissaire à l’Agriculture qui serait également vice-président de la Commission. Entretien.
Le Conseil de l’UE a donné son feu vert à un assouplissement des exigences environnementales de la Politique agricole commune, qui s’appliquera jusqu’en 2027, et ce en dépit des protestations des ONG de défense de l’environnement.
Lors d’un entretien avec Euractiv, Janusz Wojciechowski a salué la récente vague de protestation des agriculteurs dans l’UE et a déclaré que la PAC devait être basée sur des incitations plutôt que des obligations.
Lors d’une réunion avec les différents syndicats agricoles à l’Élysée, le Chef de l’État a assuré qu’il mettra en œuvre rapidement les mesures annoncées pour répondre à la colère des agriculteurs, mais qu’il détaillera son projet d’avenir après l'été, à l'aune des résultats aux Européennes, lors d’un grand discours à Rungis.
Au Parlement européen, les eurodéputés de gauche tenteront d’apporter des modifications à la proposition de la Commission européenne visant à assouplir certaines exigences environnementales de la Politique agricole commune (PAC) lors d’un vote mercredi (24 avril).
Le ministre slovaque de l’Agriculture, Richard Takáč, reste discret sur sa rencontre avec le commissaire à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski, au sujet des paiements directs, que le gouvernement slovaque n’a toujours pas versés à tous les agriculteurs slovaques éligibles.
Les coûts liés à la transition écologique de l’UE devraient être répartis « collectivement » afin de ne pas accabler certains secteurs, selon un rapport de l’ancien Premier ministre italien Enrico Letta, qui désigne les agriculteurs comme un groupe résistant aux réformes.
Alors que les betteraviers craignent une nouvelle épidémie de jaunisse, le ministère de l’Agriculture a annoncé qu’il faciliterait l’usage du Movento, un insecticide qui remplace les néonicotinoïdes désormais interdits en France. Au même moment, le fabricant retire la molécule du marché européen.
Alors que le Parlement européen ouvre la voie à une approbation rapide de l’assouplissement de certaines exigences environnementales de la Politique agricole commune (PAC) pour la période 2023-2027, les ONG se mobilisent contre cette décision.
Auditionnée par le Parlement européen ce mardi (9 avril), l’Anses a recommandé de préciser les critères de classification des produits issus des nouvelles techniques génomiques, en insistant sur l’évaluation des risques. La Commission s’est défendue en soulignant sur la rigueur scientifique de ses propositions.