Viktor Orbán présentait le programme de la présidence hongroise du Conseil de l’UE lors de la plénière du Parlement européen à Strasbourg mercredi 9 octobre, mais l’évènement a tourné à la confrontation avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
Alors que les États membres de l’UE tentent d’accorder à l’Ukraine un prêt de 35 milliards d’euros d’ici la fin de l’année, la Hongrie a annoncé vouloir freiner le processus jusqu’à l’élection présidentielle américaine de novembre.
La Hongrie a présenté mardi 24 septembre, lors d’une réunion à Bruxelles, le programme de sa présidence du Conseil de l’Union européenne (UE), dans lequel l’Ukraine occupe une place trop peu importante, selon les ministres de l’UE.
Le Premier ministre Viktor Orbán a annulé le discours qu’il devait prononcer devant le Parlement européen, lors de la séance plénière du 18 septembre à Strasbourg, en raison des inondations qui ont frappé la Hongrie.
Alors que les ministres des Affaires étrangères et de la Défense de l’UE se réunissent de manière informelle à Bruxelles — et non à Budapest — ce jeudi 29 août, les tensions avec la Hongrie devraient monter d’un cran.
Mercredi 21 août, la Hongrie a répondu à la demande d'explication de Bruxelles concernant l’assouplissement des conditions d’entrée des ressortissants russes et biélorusses dans l'espace Schengen, balayant les risques sécuritaires soulevés par l'Union européenne (UE).
L’Union européenne a encore accentué la pression internationale sur le président vénézuélien Nicolas Maduro, estimant que « faute de preuve » sa victoire à la présidentielle du 28 juillet ne peut être « reconnue », le pape François appelant de son côté à « chercher la vérité ».
Les fonctionnaires hongrois devront essuyer une réprimande et un boycott de la part des parlements nationaux de l’UE lors de la réunion de la Conférence des organes spécialisés dans les affaires communautaires (COSAC) qui se tiendra ce week-end.
En réponse à la visite du Premier ministre hongrois Viktor Orbán en Russie début juillet, une réunion des ministres des Affaires étrangères qui se tient à la fin du mois d’août aura lieu à Bruxelles et non à Budapest, a annoncé le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell.
Bratislava ne boycottera pas les travaux de la Hongrie durant sa présidence de l’UE, le président slovaque Peter Pellegrini ayant déclaré qu’il ne voyait aucune raison de sanctionner la position souveraine d’un membre de l’UE.
Alors qu’une cinquantaine de dirigeants européens se réunissent aujourd'hui (18 juillet) au Royaume-Uni sous la coupe de la Communauté politique européenne, il est de plus en plus clair que le groupe peine à justifier son existence.
Le président du Conseil européen a envoyé une réponse cinglante au Premier ministre hongrois mardi (16 juillet) pour « remettre les pendules à l’heure » concernant les manœuvres diplomatiques unilatérales de Viktor Orbán, alors que le boycott des réunions de la présidence hongroise se renforce.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a rencontré l'ancien président américain et candidat à la présidentielle de novembre Donald Trump dans sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, après le sommet de l'OTAN.
Les récents voyages surprises du Premier ministre hongrois Viktor Orbán en Russie et en Chine continuent de faire débat à Bruxelles et dans les capitales de l’UE, alors que la Hongrie assure la présidence tournante du Conseil de l’UE.
Budapest a minimisé les inquiétudes croissantes selon lesquelles les Vingt-Sept pourraient boycotter les futures réunions informelles organisées par la présidence hongroise du Conseil de l'UE.
Durant sa présidence du Conseil de l’UE, la Hongrie s’efforcera de désamorcer les tensions commerciales entre l’UE et la Chine, a confié à Euractiv l’ambassadeur hongrois auprès de l’UE, Bálint Ódor.
Face aux inquiétudes concernant son impartialité, la Hongrie s’engage à être un « médiateur honnête » durant sa présidence au Conseil de l’UE, en se concentrant sur la paix en Ukraine, la lutte contre l’immigration illégale, la politique familiale ou encore la stimulation de la compétitivité.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán s’est rendu à Moscou vendredi (5 juillet) pour rencontrer le président russe Vladimir Poutine, quelques jours seulement après sa visite à Kiev.
Le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, a reçu ce jeudi (4 juillet) le président élu du Conseil européen, António Costa, un « artisan de consensus » avec lequel il souhaite améliorer la compétitivité de l’Europe, lutter contre le changement climatique et garantir la paix.
La Hongrie, membre de l’Union européenne depuis 2004, en prend lundi (1er juillet) la présidence tournante sur fond de forte dégradation des relations avec Bruxelles et ses 26 partenaires.
Les dirigeants des pays du Groupe des Sept également membres de l’UE — France, Allemagne et Italie — devraient se rencontrer en marge du sommet du G7 ce jeudi (13 juin) pour discuter de l’attribution des postes à responsabilité des institutions de l’UE, les fameux « top jobs »
Alors que la Belgique a pris la présidence du Conseil, le Premier ministre et la ministre belge des Affaires étrangères affirment que l’expérience acquise par le pays au niveau national en matière de compromis guidera l’UE à travers les futurs défis qui l’attendent.
Le Premier ministre socialiste espagnol Pedro Sánchez a contribué à la « division » de l’Europe, a déclaré Manfred Weber, chef de file du Parti populaire européen, lors de la session plénière du Parlement européen à Strasbourg mercredi (13 décembre).
Réformes institutionnelles, compétitivité et protection du mode de vie européen seront au cœur du programme de la présidence belge du Conseil de l’UE durant le premier semestre 2024.