Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, participera à des discussions avec ses homologues de l’Union européenne (UE) pour la première fois en deux ans ce lundi 14 octobre, alors que Londres cherche à « réinitialiser » les relations avec le bloc après le Brexit.
Les ministres de l’Intérieur français et allemand encouragent leur homologue britannique à ouvrir des négociations en vue d’un nouvel accord entre le Royaume-Uni et l’UE sur l’immigration irrégulière.
Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ont convenu mercredi 2 octobre d’organiser régulièrement des sommets entre le Royaume-Uni et l’UE.
En visite à Bruxelles mercredi 2 octobre, le Premier ministre britannique Keir Starmer, espère renforcer les liens de Londres avec l’Union européenne (UE), et traiter des dossiers épineux, comme celui des migrations irrégulières à travers la Manche.
Alors que le nouveau gouvernement britannique cherche à améliorer ses relations avec Bruxelles, le secteur de l’énergie offre des bases claires pour une coopération plus étroite entre l’Union européenne et le Royaume-Uni.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer était à Paris jeudi 29 août pour défendre sa « réinitialisation unique » avec l’Union européenne (UE), après avoir rencontré la veille le chancelier allemand Olaf Scholz.
Le Premier ministre britannique est reçu mercredi 28 août à Berlin par le chancelier Olaf Scholz pour sa première série de visites bilatérales à l’étranger, qui l’emmènera ensuite à Paris et marque sa volonté de se rapprocher de l’UE après le Brexit.
Le Royaume-Uni a admis lundi ne pas être suffisamment préparé à la mise en place prochaine par l’Union européenne d’autorisations électroniques de séjour, réclamant à Bruxelles une approche « pragmatique » et autorisant un renforcement de la présence française au port de Douvres.
Le nouveau gouvernement travailliste britannique a plaidé jeudi (18 juillet) lors du sommet de la Communauté politique européenne en faveur d’une « réinitialisation » de ses relations avec l’UE, huit ans après le Brexit.
Alors qu’une cinquantaine de dirigeants européens se réunissent aujourd'hui (18 juillet) au Royaume-Uni sous la coupe de la Communauté politique européenne, il est de plus en plus clair que le groupe peine à justifier son existence.
Les espoirs de voir le nouveau gouvernement britannique chercher à rétablir des liens plus étroits avec l’UE se sont renforcés mercredi (17 juillet), lorsque le roi Charles a présenté les priorités de la future administration travailliste à la Chambre des Lords, en mettant l’accent sur la « réinitialisation des relations ».
Le nouveau gouvernement britannique de centre gauche s’est engagé à soutenir l’agriculture et à donner la priorité à la sécurité alimentaire, mais des questions subsistent quant aux projets du Parti travailliste concernant les politiques agricoles après le Brexit.
« Après le Brexit, j’ai dû fermer ma deuxième boutique pour limiter mes pertes », se désole Diego Alfonso, copropriétaire du glacier artisanal et familial Bertotti, à l’ouest de Londres. « Tout est devenu plus cher et difficile. »
Euractiv se penche sur les manifestes électoraux des partis britanniques en amont des élections générales du 4 juillet au Royaume-Uni, au terme desquelles les 650 membres de la Chambre des communes seront renouvelés, ce qui déterminera le gouvernement.
Alors que les citoyens de l’Union européenne se sont rendus aux urnes fin de la semaine dernière, le Royaume-Uni se prépare à tenir des élections générales anticipées le 4 juillet, lesquelles devraient déboucher sur un changement de gouvernement plus favorable à l’Union européenne.
Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a annoncé ce mercredi (22 mai) la tenue d’élections le 4 juillet, après 14 ans de gouvernement de son parti de droite, le Parti conservateur et unioniste.
La compagnie ferroviaire Eurostar assure qu’elle sera prête pour l’entrée en vigueur de nouvelles mesures aux frontières de l’UE en octobre et a dévoilé mardi (21 mai) les aménagements en cours au départ de Londres, d’un coût de 10 millions d’euros.
Le chef de la diplomatie espagnole doit rencontrer son homologue britannique et le vice-président de la Commission européenne Maroš Šefčovič à Bruxelles jeudi (16 mai) pour tenter de finaliser l’accord tant attendu sur le futur statut de l’encalve britannique de Gibraltar.
Ne nous méprenons pas : l’extrême droite européenne, sous un voile d’acceptabilité, reste prête à détricoter l’Union européenne pour en faire un « simple syndicat international », a affirmé Michel Barnier lors d’un entretien avec Euractiv France mardi.
Le Premier ministre Gabriel Attal met en garde depuis une semaine contre les risques d'un « Frexit » si le Rassemblement national (RN) l’emporte lors des élections européennes, faisant du Brexit l’exemple à ne pas suivre.
Le secrétaire d’État britannique pour l’Irlande du Nord devrait partager les détails de l’accord visant à restaurer le partage du pouvoir en Irlande du Nord ce mercredi (31 janvier), bien que cet accord n’apporte pas de changements majeurs au cadre de Windsor convenu l’an dernier.
L’avenir de la relation entre Gibraltar et l’Union européenne sera décidé au cours du premier semestre de cette année, a affirmé mardi le ministre en chef de Gibraltar, Fabian Picardo, concluant une négociation vieille de presque huit ans.
Une majorité de Britanniques serait favorable à un retour du Royaume-Uni au sein du marché unique européen, même si cela impliquerait de rétablir la libre circulation des personnes entre les États membres, selon un sondage.
Des députés britanniques alertent sur le fait que les suppressions de postes subies par la mission diplomatique du Royaume-Uni à Bruxelles risquent de compromettre ce qui reste de l’influence britannique dans l’UE dans le sillage du Brexit.