Les ministres des Finances de la zone euro se sont entendus dans la nuit de jeudi à vendredi sur un vaste accord mettant fin à huit années de crise, d’austérité et de plans de sauvetage pour la Grèce.
Entre les prêts accordés à Athènes et les programmes de rachat de titres de dette, les organismes allemands ont récolté 1,34 milliard d’euros depuis le début de la crise. Un article de notre partenaire La Tribune.
Les créanciers de la zone euro se sont entendus sur un prêt de 8,5 milliards d'euros à la Grèce, qui permettra au pays d'honorer des échéances cruciales cet été, et lui ont fourni des pistes en vue d'un possible allègement de sa dette en 2018.
La réunion de l’Eurogroupe du 15 juin augurent des discussions tendues sur la dette grecque. Berlin, hostile à tout allègement, semble camper sur ses positions.
La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, propose plus de temps aux créanciers de la Grèce pour qu’ils acceptent l’allègement de la dette, qu’elle exige pour apporter sa contribution au sauvetage financier. Un article d’Euroefe.
Le gouvernement grec a drastiquement réduit ses prévisions de croissance pour 2017, dans la foulée des nouvelles mesures d’austérité imposées par ses créanciers.
Obsédé par son objectif de faire entrer le FMI dans le plan de soutien à Athènes, les créanciers européens ont encore une fois demandé des mesures dures à Athènes. Un article de notre partenaire, La Tribune.
Le Parti populaire européen aurait tenté de « saboter » un débat sur le renflouement grec au Parlement européen, en l’absence de Jeroen Dijsselbloem, le président de l’Eurogroupe, selon l’eurodéputé Syriza Dimitris Papadimoulis.
Athènes place ses espoirs dans une visite de Barack Obama, qui appelle toujours à une réduction significative de la dette grecque, pour convaincre l’Allemagne de lâcher du lest.