Lors d'une conférence sur la Syrie à Bruxelles, le retour des réfugiés syriens dans leur pays a été évoqué. Démarrée en 2011, la guerre en Syrie touche à sa fin
Les frappes effectuées en Syrie par les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni sont loin de faire l'unanimité au sein de l'UE. Le chef de la diplomatie française Jean-Yves le Drian va chercher à resserrer les rangs au cours d'une réunion avec ses homologues lundi à Luxembourg.
Emmanuel Macron et Donald Trump ont réaffirmé lors d’un entretien téléphonique lundi soir leur souhait d’« une réaction ferme de la communauté internationale » après l’attaque chimique présumée perpétrée à Douma, en Syrie, rapporte l’Élysée.
La stratégie russe est d’affaiblir l’UE, a assuré Donald Tusk, président du Conseil européen, après cinq heures de discussions « difficiles », selon les diplomates, sur les relations de l’UE avec Moscou.
La Première ministre britannique, Theresa May, a déclaré hier soir (20 octobre) aux dirigeants européens que le Royaume-Uni ne se contenterait pas de tamponner les accords négociés entre les États membres qui se rencontreront à 27.
Berlin est en train de réfléchir à des sanctions contre la Russie par rapport à son implication en Syrie. De son côté, Paris envisage de demander à la Cour pénale internationale d’enquêter sur les crimes de guerre perpétrés par les forces russes et syriennes à l’est d’Alep.