Il manque 5.300 milliards de dollars pour stabiliser la concentration de CO2 à un niveau jugé non dangereux, selon une étude de Bloomberg New Energy Finance. Un article de notre partenaire le JDLE.
Alors que les négociations entre pays piétinent quelque peu à la COP 21, les maires de 700 villes se sont engagés le 4 décembre à atteindre 100 % d’énergies renouvelables en 2050.
Après leur échec à Lima, villes et régions espèrent faire valoir leurs rôles dans la future gouvernance de l’agenda des solutions, parallèle à l’accord de Paris sur le climat.
L'après COP21 sera une période cruciale, selon le président de la Commission environnement de l'Assemblée nationale, qui souhaite que le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, continue sa mission en 2016.
La société civile a déjà commencé à renforcer la valeur juridique des accords internationaux sur l'environnement, au travers des juridictions nationales. L'accord de Paris proposera une garantie textuelle supplémentaire.
Edition spéciale. Les collectivités locales poussent les États à revoir à la hausse leurs ambitions de réduction de CO2. Mais les négociations climatiques, entre Etats, les prennent peu en compte.
A quelques semaines de la COP21, l'ensemble des pays les moins avancés a rendu ses copies, souvent ambitieuses, en matière de lutte contre le changement climatique. Mais ces contribution restent tributaires de financements internationaux incertains.
La contribution nationale de la Bolivie en vue de la COP 21 classe le changement climatique dans les échecs de l’économie capitaliste, auquel le pays appelle à mettre fin.
À deux mois de la COP 21, la provenance des 100 milliards de dollars par an promis par les pays développés pour lutter contre le changement climatique dans les pays du Sud n’est toujours pas tranchée.
Les timides avancées des négociations internationales sur le climat ont poussé la France à trancher en faveur de l’arrêt des crédits à l’export aux projets de centrales à charbon. Au niveau européen, les négociations patinent.
En présentant une contribution ambitieuse à la COP 21, les îles Marshall et les petits États insulaires espèrent donner un coup de fouet aux négociations et pousser les autres pays à s’orienter vers un objectif de réchauffement de 1,5°C.
La facture de la conférence de Paris Climat 2015 sera assumée en partie par le secteur privé. Un mode de financement qui fait grincer des dents les ONG, craignant une opération de camouflage aux couleurs écologiques.
A 8 mois de la conférence de Paris Climat 2015, les États-Unis ont dévoilé un objectif attendu de réduction de gaz à effet de serre de 26 à 28% pour 2025. La Russie a créé la surprise en dévoilant in extremis une contribution jugée peu ambitieuse.
A la veille de l’échéance, seuls la Suisse, la Norvège, le Mexique et l'Union européenne ont publié leur stratégie carbone. Les Etats-Unis manquent toujours à l'appel. Ces engagements nationaux sont pourtant nécessaires à l’élaboration d'un accord à Paris.
Le projet de loi légalisant la fracturation hydraulique préparé par le gouvernement allemand s’attire les foudres des défenseurs de l’environnement à quelques mois de la COP 21. Un article d'EURACTIV Allemagne.
Les négociations internationales sur la réduction des risques naturels ont abouti à un accord décevant au Japon le 18 mars, malgré le drame de Vanuatu. Un mauvais signal pour les négociations climatiques.
Attendues avant la fin mars, les contributions pour la COP21 des pays participants aux négociations sont en retard. La France a fait inscrire le sujet au Conseil européen pour demander à ses 27 partenaires de battre le rappel.
Les pays les plus pauvres vont bénéficier d’une aide financière de plusieurs donateurs, dont la France. L'UE songe à inciter les autres Etats membres à faire de même pour élaborer les projets de réduction d’émissions de gaz à effet de serre à l’approche de Paris Climat 2015.
La Commission européenne vient de présenter la proposition de « contribution » de l’Europe à la conférence internationale de Paris sur le climat prévue en décembre 2015. Une première étape encourageante, même si certains points doivent être éclaircis, estime Teresa Ribera.
État des lieux avant la 21ème Conférence des Nations unies sur le changement climatique qui se déroulera à Paris en 2015. Elle a pour ambition l’adoption d’un premier accord universel et contraignant sur le climat.
Exclusif. Le gouvernement français prévoit d'interrompre le soutien au charbon dans les pays en développement-à terme. Au niveau européen, la Commission affiche une ambition limitée, selon un document obtenu par EURACTIV.
A 10 mois de la COP21, Paris tente de réunir les conditions d'un accord international. L'approche « à la carte » modifie profondément la donne de négociations internationales face auxquelles les Européens sont surtout des facilitateurs.
L’Union européenne estime que le résultat des négociations sur le climat à Lima ouvre la voie à un accord global en 2015 à Paris, mais regrette un certain manque d’ambition.
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