Ministre des Affaires étrangères britannique, Boris Johnson a quitté son poste le 9 juillet. Cette démission, qui suit celle du ministre du Brexit David Davis, fragilise d’autant plus le gouvernement de Theresa May, moins de neuf mois avant l’échéance du Brexit.
Un Brexit dur permettrait au Royaume-Uni de s’affranchir totalement des règles de l’Union. Un Brexit doux lui offrirait un maintien des avantages commerciaux du marché unique. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
Un accord de libre-échange avec l’UE coûterait au Royaume-Uni 4,8 % de sa croissance économique attendue au cours des 15 prochaines années, selon une « analyse de sortie de l’UE » du gouvernement britannique.
Le projet de sanctions de l’UE pour encadrer la période de transition après le Brexit est « peu judicieux » et « de mauvaise foi », a dénoncé jeudi à Londres le ministre britannique chargé du Brexit David Davis, dans une déclaration à la virulence inhabituelle.
A Londres, Michel Barnier a prévenu les Britanniques que les barrières commerciales avec l’UE seraient inévitables si le Royaume-Uni insistait pour quitter l’union douanière. Chaque partie refuse actuellement de céder du terrain.
Le ministre britannique au Brexit accueille Michel Barnier, négociateur en chef pour l’UE, à Londres, avant la reprise des négociations, la semaine prochaine.
Les députés britanniques ont adopté un projet de loi gouvernemental crucial dans la mise en œuvre du Brexit, au terme d’un parcours turbulent et avant une nouvelle bataille devant l’europhile chambre des Lords.
C'est avec son franc-parler habituel que le Premier ministre bulgare, Boyko Borissov, a pris la liberté de commenter le Brexit en marge du sommet du 14 décembre. Pour lui, pas de doute : la séparation avec le Royaume-Uni sera compliquée.
Victime de la rébellion d'une partie de son propre camp, la Première ministre britannique a perdu, à quatre voix près, un vote crucial sur le Brexit au Parlement, exposant sa faiblesse à la veille d'un sommet européen
Devant la chambre des Communes britannique, la Première ministre estime que l’accord trouvé avec Bruxelles a créé « un nouveau sentiment d’optimisme dans les négociations » sur le Brexit. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
Après une longue nuit de négociations à Bruxelles, l'UE et le Royaume-Uni ont réalisé des « progrès suffisants » pour entamer la deuxième étape du Brexit. Le compromis prévoit notamment des disposition pour préserver l'unité de l’Irlande.
Carl Baudenbacher, président de la Cour de justice de l'Association européenne de libre-échange, vient de démissionner. Il était l’un des principaux défenseurs d’une adhésion de Londres à l’Association, un avantage certain pour le Royaume-Uni post-Brexit.
Les négociations entre l'UE et le Royaume-Uni reprennent, et l'heure du Brexit a déjà été fixée. Mais de part et d'autre, personne ne s'attend à des avancées majeures.
Le Royaume-Uni sera libre d’introduire des visas pour la Pologne, la Roumanie et la Bulgarie et risque de le faire après sa « sortie ordonnée » de l’UE, a déclaré David Davis, négociateur en chef du Brexit.
Le quatrième cycle de négociation qui a débuté le 25 septembre sera celui de la dernière chance pour Londres de faire avancer les négociations vers la question de l'après-Brexit avant le Conseil d’octobre.
La Chambre des Communes a voté le premier projet de loi pour mettre fin à la primauté du droit européen sur le droit britannique une fois que le Royaume-Uni aura quitté l’UE en 2019. Un article d’Euroefe.
Michel Barnier estime que les deux camps sont encore « loin » d’avoir réalisé des progrès suffisants pour lancer les discussions sur la future relation commerciale entre le Royaume-Uni et l’UE après le Brexit.
Le négociateur en chef de l'UE pour le Brexit, Michel Barnier, a exhorté lundi le Royaume-Uni à « commencer à négocier sérieusement » sa sortie de l'UE, à l'ouverture d'une nouvelle session de tractations à Bruxelles.
Le Royaume-Uni propose une union douanière intermédiaire après le Brexit, le temps de négocier ses propres accords commerciaux, et entend faire accepter cette idée en jouant sur la carte de la frontière irlandaise.
Dans le cadre des négociations sur le Brexit, l’Union européenne propose dans que les Britanniques vivant sur son territoire aient seulement le droit de résider dans le pays où ils sont installés au moment de la sortie de la Grande-Bretagne...
Lors d’un second cycle des négociations, l’UE et le Royaume-Uni ont campé sur leur position sur la question des obligations financières de Londres et celle du tribunal qui garantira les droits des citoyens européens dans un monde post-Brexit.
L'UE à 27 et le Royaume-Uni entrent dans le vif du sujet lors d'un deuxième round de négociations pour déterminer les conditions de leur divorce, au moment où Londres se met progressivement en ordre de bataille.
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