Dans l’une de ses premières actions post-Brexit, l’Angleterre a lancé une consultation sur l’édition génétique afin de dégager des « avantages substantiels » pour le secteur et l’environnement. Voilà qui pourrait engendrer des désaccords avec l’UE.
Selon un article scientifique, la première méthode de détection en source ouverte pour une culture génétiquement modifiée a été mise au point. Les ONG environnementales et des groupes militants estiment que cela pourrait hypothétiquement permettre à l'UE de procéder à des contrôles pour empêcher des importations non autorisées, mais le syndicat européen des semenciers réfute cette affirmation.
Un amendement déposé au nouveau projet de loi agricole britannique, destiné à permettre l’accès à une nouvelle technologie de modification génétique, a été retiré, mais le gouvernement s’est engagé à mener une consultation publique sur la question.
La Commission européenne propose d'assouplir temporairement les règles strictes de l'UE sur les OGM, afin d'accélérer la recherche d'un vaccin et de traitements contre le COVID-19.
Le Royaume-Uni ouvrira-t-il ses portes aux OGM après le Brexit ? Telle est la question qui taraude les esprits après que Michel Barnier a annoncé aux eurodéputés que Londres devrait maintenir des conditions équitables pour conclure un accord commercial.
Les nouvelles techniques de sélection des plantes doivent être couvertes par la législation relative aux OGM, selon la Fédération internationale des mouvements d’agriculture biologique (IFOAM).
La justice européenne a estimé que les organismes issus des nouvelles techniques de sélection des plantes étaient des OGM. Une décision qui provoque l'incompréhension chez les l’industriels du secteur.
Le Conseil d'État a décidé lundi 3 octobre de surseoir à statuer sur de nouvelles techniques de modifications génétiques des plantes accusées de produire des « OGM cachés » échappant à toute réglementation, préférant interroger d'abord la Cour de justice européenne.
La Commission européenne a entamé les discussions sur l’autorisation de la culture de nouveaux OGM, le maïs Bt11 et le maïs 1507. Dix-sept États membres ne les cultiveront pas.
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Mella Frewen, directrice générale de FoodDrinkEurope
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Susan Danger, PDG de la Chambre américaine de commerce auprès de l’UE (AmCham EU)