Le président sortant du Conseil européen Donald Tusk a déclaré la guerre aux « autocrates » et aux « populistes » le 20 novembre à Zagreb en prenant la tête d’une droite européenne qui tente de se relancer après ses récents reculs électoraux.
Reporter les négociations d'adhésion avec la Macédoine du Nord et l'Albanie serait une « grave erreur » selon Donald Tusk, mais aussi plusieurs eurodéputés.
Des représentants nord-macédoniens et des pays du groupe de Visegrad ont plaidé pour l’importance de l’élargissement, dans une dernière tentative d’ouvrir les discussions sur l’adhésion de la Macédoine du Nord avant le sommet européen des 17 et 18 octobre.
Le 11 octobre, le président du Conseil européen, Donald Tusk, a sommé le président turc de cesser son chantage à l’égard de l’UE. Au grand dam de Boïko Borissov, qui s’apprête à demander aux leaders européens de modérer leurs propos.
Giuseppe Conte, fraichement réélu en tant que Premier ministre italien a volontairement choisi Bruxelles et les institutions européennes comme première visite officielle. Son but ? apaiser les tensions et entamer une nouvelle relation de concession avec la Commission européenne.
Le premier Ministre du Royaume-Uni s’est attiré les foudres du président du Conseil européen. Aux yeux de Donald Tusk, les alternatives au « backstop » proposées par Boris Johnson sont « irréalistes ».
CETA, OMC et augmentation des investissements dans la recherche et le développement de la transition énergétique : UE et Canada ont évoqué les principaux enjeux de leur relation lors d'un sommet commun.
Les dirigeants européens ont écarté la perspective d'un nouveau report du Brexit à l'issue du sommet européen qui s'est achevé vendredi (21 juin), Donald Tusk, accusant le Royaume-Uni de gaspiller son délai de six mois, qui expire le 31 octobre.
La République tchèque, l’Estonie, la Hongrie et la Pologne ont refusé l’objectif de neutralité carbone pour 2050, malgré les efforts de dernière minute de Paris et Berlin pour les convaincre de s’engager sur cette date spécifique.
Les chefs d’État risquent de plonger l’UE dans une crise institutionnelle s’ils décident d’abandonner le processus de Spitzenkandidaten pour choisir le prochain président de la Commission européenne, a déclaré une source du Parti populaire européen.
Les États membres ont soutenu les priorités pour les cinq prochaines années, tout en appelant à une vision plus positive pour le bloc. Malgré les nombreuses demandes, la dernière version du projet n’inclut que de petits changements.
Le Tadjikistan semblait jeudi débloquer plusieurs sites populaires et services de Google pendant une visite dans ce pays d'Asie centrale du président du Conseil européen, Donald Tusk.
Les premières lignes de bataille ont été tracées par les États membres sur le remplacement de Jean-Claude Juncker en tant que président de la Commission européenne lors du conseil informel en préparation du sommet de juin.
Les élections européennes marquent le départ d’une course pour les plus hautes fonctions de l’UE, sans nécessairement en choisir les vainqueurs. Explications.
Le chef de file du groupe libéral au Parlement européen, Guy Verhofstadt, estime que la décision d’accorder au Royaume-Uni va empoisonner les élections européennes.
Le Royaume-Uni devrait rester dans l’UE jusqu’au 31 octobre et prendre part aux élections européennes de mai, Theresa May ayant obtenu une nouvelle prolongation afin d’éviter une sortie sans accord.
À la suite du troisième rejet de l’accord de retrait du Brexit, le président du Conseil, Donald Tusk, a déclaré que l’UE convoquerait un sommet de crise le 10 avril.
Les dirigeants européens sont prêts à accorder un délai de 8 semaines au Brexit, à condition que la chambre des communes approuve l’accord de retrait la semaine prochaine.
Le président du Conseil européen a averti le Royaume-Uni que l’UE n’acceptera la demande de prolongation du Brexit de Theresa May que si les députés britanniques soutiennent l’accord de retrait la semaine prochaine.
L’ONG foodwatch s'insurge du parrainage de la présidence roumaine de l’UE par Coca-Cola. La multinationale milite par ailleurs contre une nouvelle législation sur le sucre.
Les partisans du Brexit qui n’ont pas de plan pour la sortie britannique méritent une « place spéciale en enfer », a estimé le président du Conseil, Donald, Tusk le 6 février.
Theresa May rencontrera jeudi le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, à Bruxelles ainsi que le président du Conseil européen, Donald Tusk, pour tenter de sauver l’accord de Brexit.
Dans un ultime soubresaut de la crise du Brexit, Theresa May va tenter de rouvrir les négociations avec les dirigeants européens sur le filet de sécurité irlandais tant controversé. L’UE a pourtant indiqué que ce ne serait pas possible.
Depuis les élections de novembre 2018, les sondages polonais donnent toujours le parti PiS en tête, avec entre 30 et 40 % d’intentions de vote. Le plus grand parti d’opposition, PO, stagne à 22 %.
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