Face à une UE unie et ferme sur ce qu’elle acceptera ou n’acceptera pas pour le Brexit, le Royaume-Uni semble toujours dans le flou et les questions majeures telles que la frontière nord-irlandaise restent en suspens.
Les ressortissants de l’UE vivant au Royaume-Uni doivent faire une demande de titre de résident permanent pour un coût de 65 livres. Le Parlement européen risque de peu apprécier le fait que les citoyens paient pour le Brexit.
À treize mois de l’échéance, les trois millions de ressortissants des 27 dénoncent le flou qui entoure leur futur statut outre-Manche. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
Après une longue nuit de négociations à Bruxelles, l'UE et le Royaume-Uni ont réalisé des « progrès suffisants » pour entamer la deuxième étape du Brexit. Le compromis prévoit notamment des disposition pour préserver l'unité de l’Irlande.
Michel Barnier estime que les deux camps sont encore « loin » d’avoir réalisé des progrès suffisants pour lancer les discussions sur la future relation commerciale entre le Royaume-Uni et l’UE après le Brexit.
Le troisième cycle de négociation du Brexit démarre. Malgré le manque de progrès sur les questions importantes jusqu’ici, l'UE insiste pour prolonger les discussions au-delà de mars 2019.
Le Royaume-Uni propose une union douanière intermédiaire après le Brexit, le temps de négocier ses propres accords commerciaux, et entend faire accepter cette idée en jouant sur la carte de la frontière irlandaise.
Dans le cadre des négociations sur le Brexit, l’Union européenne propose dans que les Britanniques vivant sur son territoire aient seulement le droit de résider dans le pays où ils sont installés au moment de la sortie de la Grande-Bretagne...
La ministre de l’Intérieur Amber Rudd a annoncé jeudi qu’elle sollicitait un comité indépendant pour évaluer l’impact économique de l’immigration européenne au Royaume-Uni, afin de déterminer la future politique migratoire du pays.
Lors d’un second cycle des négociations, l’UE et le Royaume-Uni ont campé sur leur position sur la question des obligations financières de Londres et celle du tribunal qui garantira les droits des citoyens européens dans un monde post-Brexit.
Le négociateur du Brexit du Parlement européen, Guy Verhofstadt, estime que l’offre de Theresa May est insuffisante pour les citoyens européens vivant au Royaume-Uni. Un article d’Euroefe.
La Première ministre britannique, Theresa May, a essayé de garder bonne contenance après le sommet européen, assurant avoir fait une offre « juste et sérieuse » à ses partenaires. Difficile, toutefois, de ne pas remarquer son isolement.
Angela Merkel a donné une réponse circonspecte à la proposition de la Première ministre britannique, Theresa May, sur la protection des droits des citoyens européens après le Brexit,. Il s'agit d'un des sujets les plus sensibles des négociations.
Les négociations historiques qui permettront au Royaume-Uni de sortir de l’UE en 2019 ont démarré le 19 juin. Les deux parties se sont accordées sur le calendrier, la structure et les priorités des discussions.
Le négociateur européen du Brexit estime que la protection des droits des citoyens est un devoir moral. Il refuse de se laisser entrainer dans un échange de reproches stériles avec Londres.
Plus de la moitié des citoyens britanniques sont opposés à ce que les droits des Européens résidant au Royaume-Uni soient garantis de manière unilatérale après le Brexit, selon un sondage.
L'opposition travailliste britannique a annoncé qu'elle garantirait les droits des ressortissants de l'UE qui vivent au Royaume-Uni en cas de victoire aux législatives.
Les négociateurs du Brexit devront mener des discussions « extrêmement complexes » sur les droits des citoyens européens au Royaume-Uni et des Britanniques expatriés dans l’UE.
La Commission européenne vient de publier des recommandations pour les États-membres qui empêchent leurs citoyens de voter pour les élections nationales ou régionales lorsqu'ils séjournent dans un autre pays européen.