La banque centrale européenne n'a pas les moyens juridiques d'intervenir sans que l'UE n'organise auparavant un plan de sauvetage en bonne et due forme.
Les « fake news » ont été relativement rares lors des élections italiennes de 2018, selon une ONG basée à Bruxelles, qui en relève néanmoins deux. Euractiv revient sur ces événements dans le cadre de l’émission ‘Contre-Faits’, en partenariat avec France 24.
La lutte est engagée entre le M5S et la Ligue, devenus majoritaires depuis les législatives et qui revendiquent chacun le pouvoir, tout en excluant une alliance « eurosceptique » entre eux.
Au lendemain des élections, Matteo Renzi a annoncé sa démission, qui prendra effet après la formation d’un gouvernement, et exclut toute alliance avec les « extrémistes ».
Une percée historique des forces antisytème, eurosceptiques et d'extrême droite, majoritaires en voix et en sièges après les législatives italiennes, bouleversent la donne et plongent le pays dans l'incertitude politique.
Depuis le début de la campagne électorale en Italie, des vidéos et photos manipulées ont circulé sur les réseaux sociaux. EURACTIV fait un tour d’horizon dans le cadre de l’émission « Contre-Faits », produite en partenariat avec France 24.
Si des élections devaient être réorganisées ultérieurement, Silvio Berlusconi serait disposé à redevenir Premier ministre en 2019. Son favori pour le poste en cas de victoire, le président du Parlement européen Antonio Tajani, se fait discret.
Reportage de notre partenaire, Ouest-France, dans une ville moyenne d’Emilie-Romagne, en Italie, où l’effet conjugué de la crise économique et de la pression migratoire favorisent la Ligue du Nord.
Inéligible, Berlusconi pourrait cependant être en position de choisir le futur Premier ministre. Et l’actuel président du Parlement européen, Antonio Tajani, est l’un de ses candidats préférés.
Les Italiens sont très divisés quant à leur ancien Premier ministre italien, Matteo Renzi, mais pourquoi ? À l’approche des élections, notre partenaire, Italia Oggi, donne des éléments de réponse.
Le Parti démocrate du chef du gouvernement italien, Matteo Renzi, a été battu à plates coutures à Rome et à Turin par les anti-système du Mouvement 5 Étoiles, dimanche à l'issue du second tour des élections municipales.
Sergio Mattarella, juge de la cour constitutionnelle et politique du centre-gauche depuis très longtemps, a été élu président de l’Italie le 31 janvier. Son élection est une victoire pour le Premier ministre, Matteo Renzi, et une défaite pour Silvio Berlusconi, qui soutenait son opposant.
Le Sénat italien vient de voter la confiance au gouvernement de coalition d’Enrico Letta, à l'occasion de l'examen du projet de budget 2014. Ce vote de confiance survient la veille de l’éviction probable de Silvio Berlusconi du parlement.
L'ancien premier ministre italien envisage de se présenter aux élections européennes en Estonie. Une façon de contourner la législation italienne qui lui interdit d’être candidat à domicile.
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