La Commission nationale de l'informatique et des libertés continue sa chasse aux contrevenants en matière de cookies et a sanctionné jeudi 6 décembre Facebook et Google à hauteur, respectivement, de 60 et 150 millions d'euros.
Le prochain gouvernement allemand a l’intention de se prononcer plus fermement en faveur du cryptage de bout en bout et contre l’introduction de portes dérobées à ce sujet.
Pour savoir ce qui a été réalisé et ce que le successeur du Portugal, la Slovénie, devrait poursuivre, EURACTIV s’est entretenu avec Hugo Santos Mendes, vice-ministre portugais des Communications.
Google s’est prononcé en faveur d’une dérogation à la directive ePrivacy et l’idée de créer un centre européen pour coordonner la prévention et l’aide aux victimes au niveau de l’UE.
Le Conseil d'Etat se réunit aujourd'hui pour trancher une question épineuse : celle de la conservation généralisé des données de connexion en France alors la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) s'est déjà prononcée à plusieurs reprises en opposition à cette pratique.
Margrethe Vestager a déclaré vendredi (19 mars) qu'elle émettait des "réserves" quant à une proposition de la présidence tournante portugaise visant à débloquer les négociations sur le règlement ePrivacy.
La Commission européenne va présenter dans les mois à venir une nouvelle mouture de la réglementation sur la protection de la vie privée dans le secteur des communications électroniques, a annoncé le commissaire au marché intérieur.
Au lendemain du scandale Facebook, la Commission européenne augmente la pression sur les dirigeants européens pour qu’ils approuvent une loi controversée sur la vie privée, dans l’impasse depuis plus d’un an.
Pour les eurodéputés, l’UE a besoin de lois encore plus strictes pour empêcher l’utilisation illégale de données de millions d’utilisateurs comme l’ont fait Facebook et Cambridge Analytica..
Après le scandale touchant Facebook et le cabinet Cambridge Analytica, les utilisateurs de la plateforme ont le droit d'être informé sur l'utilisation de leurs données, a décrété la commissaire européenne au numérique, Mariya Gabriel.
Certains États membres trouvent les propositions de la Commission sur l’utilisation des données privées trop strictes, un avis partagé par les opérateurs.