L’annulation des réunions en raison du COVID-19 a porté un coup dur aux 1200 interprètes free-lance qui travaillent pour les institutions européennes.En l'absence de compensation, ils dénoncent l'absence de solidarité de l'UE à leur égard.
La Médiatrice européenne a lancé une consultation publique pour récolter des avis sur l’utilisation des langues au sein des institutions. Le but : garantir le multilinguisme sans faire exploser le budget.
A dix jours d'intervalle, le Conseil d’État a validé une clause Molière dans la Loire et invalidé une autre en Rhône-Alpes. La première généralisait les capacités d'interprétariat, alors que la seconde imposait le français comme langue unique.