Les mesures du gouvernement pour protéger les entreprises françaises jugées stratégiques devraient concerner de nouveaux secteurs tels que les nanotechnologies, le spatial et les infrastructures financières.
Soucieux de ne pas alimenter le protectionnisme, la majorité des États membres se sont opposés à la proposition de Paris, Berlin et Rome de renforcer le contrôle des investissements étrangers au niveau européen.
Les dirigeants européens vont discuter des possibilités de vérification des investissements étrangers au Conseil européen. Une proposition plus radicale pour un système de véto européen des rachats étrangers reste pour l’instant exclue.