« Aujourd’hui, le scénario central du Brexit est celui du no-deal », a indiqué le 21 août l’Élysée à la veille d’une rencontre entre Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Boris Johnson à Paris.
Le nouveau Premier ministre britannique Boris Johnson doit rencontrer mercredi les chefs des principaux partis politiques d’Irlande du Nord, où il tentera d’apaiser les inquiétudes sur l’avenir de la frontière irlandaise en cas de Brexit sans accord.
Une femme de 29 ans a été tuée dans la nuit de jeudi à vendredi au cours d’échanges de tirs à Londonderry, en Irlande du Nord, une mort traitée « comme un incident terroriste » par la police nord-irlandaise.
Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %. Une opinion de notre partenaire, La Tribune.
La Première ministre britannique présente son « plan B » pour le Brexit aux députés qui ont massivement rejeté la semaine dernière l'accord de divorce qu'elle avait difficilement négocié avec l'Union européenne.
Alors que les Britanniques rejettent l’accord sur le Brexit, Bruxelles et Dublin veulent rassurer Londres sur le filet de sécurité. Le gouvernement assure pour sa part ne pas vouloir retarder la sortie de l’Union.
Malgré le report du vote à la Chambre des communes sur l’accord de sortie de l’UE, huit scénarios demeurent possibles pour le Brexit. Un article d’Euroefe.
Theresa May refuse de retarder le vote des députés sur l’accord de Brexit. Mais elle n’exclut pas de les laisser s’exprimer sur l’arrangement prévu pour l’Irlande du Nord.
Décryptage des 585 pages, 185 articles, trois protocoles et plusieurs annexes du projet d'accord sur le Brexit dévoilé le 14 novembre au soir par l'UE et le Royaume-Uni.
Deux ans après le vote et à quelque mois de la date de sortie attendue, le 29 mars 2019, les négociateurs britanniques et européens se sont mis d'accord sur un accord technique.
Le ministre britannique chargé du Brexit pense parvenir à un accord avec Bruxelles d'ici au 21 novembre dans les négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l'UE, selon une lettre adressée à des parlementaires.
Theresa May et les 27 n'ont pas progressé sur l'accord de divorce entre Londres et Bruxelles. Michel Barnier estime pour sa part avoir encore besoin de « beaucoup de temps » pour finaliser un compromis.
Les discussions de dernière minute à Bruxelles n’ont pas suffi à débloquer les négociations sur le départ britannique de l’Union européenne, qui butent encore et toujours sur le sort de la frontière irlandaise après le Brexit.
En Irlande du Nord, la paix est revenue. Mais avec le Brexit, « on risque de repartir 30 ans en arrière », alerte Estelle Epinoux, chercheuse à l’université de Limoges, pour notre partenaire, Ouest-France.
Belfast n’a plus de gouvernement depuis janvier 2017. Mercredi 29 août, elle bat le record établi par la Belgique en la matière. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
Michel Barnier a minimisé l’importance du Livre blanc douloureusement conclu par le gouvernement britannique sur les relations post-Brexit, insistant sur le fait qu’il ne servirait pas de base aux négociations sur l’article 50 avec Londres.
La Commission européenne a publié le 19 juillet une communication à l’intention des entreprises dans l’UE pour les prévenir des conséquences d’un Brexit sans accord.
Face à une UE unie et ferme sur ce qu’elle acceptera ou n’acceptera pas pour le Brexit, le Royaume-Uni semble toujours dans le flou et les questions majeures telles que la frontière nord-irlandaise restent en suspens.
Le casse-tête de la frontière irlandaise après le Brexit, toujours irrésolu, a amplifié le soutien au maintien dans l’Union européenne en Irlande du Nord et fait resurgir la question d’une réunification entre cette province britannique et la république d’Irlande voisine.