Lors de son premier discours en tant que secrétaire général de l’OTAN, l’ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte a insisté sur la nécessité pour les États membres de l’alliance militaire de dépenser davantage pour la défense.
Le soutien à l’Ukraine, la refonte des mécanismes de défense collective de l'Alliance et l’augmentation des dépenses de celle-ci représentent les temps forts des dix années passées par Jens Stoltenberg à la tête de l’OTAN, alors qu’il passe le relais à Mark Rutte ce 1er octobre.
Le Néerlandais Mark Rutte prend ses fonctions en tant que secrétaire général de l’OTAN ce mardi 1er octobre, et bien que ses cinq premières tâches sont claires et sans surprises, elles ne seront pas faciles à mener à bien.
Pour la première fois depuis 2008, le communiqué final de l’OTAN n’a pas fait référence à la future adhésion de la Géorgie, reflétant la récente détérioration des relations avec Tbilissi liée à l'adoption de la loi controversée sur les « agents étrangers ».
Les dirigeants de l’OTAN ont soutenu la voie « irréversible » de l’Ukraine vers l’alliance militaire occidentale, comme prévu mercredi (10 juillet), mais ils se sont abstenus de présenter un calendrier et un cadre concrets.
Les nouveaux plans de défense de l’OTAN, qui nécessitent des dépenses militaires record, seront étudiés lors de la réunion des dirigeants des pays alliés mercredi (10 juillet), qui portera sur les moyens d’accroître les capacités de défense de l’Alliance.
Les dirigeants de l’OTAN se sont engagés, mardi (9 juillet), à fournir à Kiev des dispositifs de défense aérienne plus avancés et davantage d’avions de combat F-16 afin de contrer l’intensification des frappes de missiles russes sur l’Ukraine.
Le futur secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, n’a que quelques mois pour se préparer à diriger l’alliance militaire occidentale dans un contexte de crise, les membres des deux côtés de l’Atlantique cherchant à lui imposer leurs priorités.
Alors que les dirigeants de l’OTAN devraient cette semaine rassurer l’Ukraine sur la constance de leur soutien, il est probable qu’ils n’abordent pas clairement la possibilité d’une future adhésion de l’Ukraine à l’alliance militaire occidentale.
Les défenses aériennes polonaises pourraient protéger l’espace aérien au-dessus des régions frontalières de l’Ukraine, a déclaré samedi à Vilnius la vice-présidente du Conseil suprême ukrainien à son homologue polonais.
L'OTAN s'apprête à mettre en place une plateforme pour aider ses membres à élaborer des stratégies nationales de défense, dans une nouvelle tentative de stimuler la production, a appris Euractiv.
Les membres de l’OTAN se sont mis d’accord mercredi (3 juillet) pour continuer à fournir à l’Ukraine une aide militaire à hauteur de 40 milliards d’euros au cours de l’année prochaine, selon les informations d’Euractiv.
L’actuel Premier ministre néerlandais Mark Rutte sera le prochain secrétaire général de l’OTAN, après avoir reçu le feu vert des ambassadeurs des 32 membres de l’alliance militaire occidentale ce mercredi (26 juin).
Les dirigeants de la Finlande, la Suède et la Norvège ont convenu jeudi (20 juin) d’établir un corridor de transport militaire dans la région nordique afin d’améliorer leur préparation face à la menace croissante de la Russie.
Le Premier ministre sortant des Pays-Bas, Mark Rutte, devrait devenir le prochain secrétaire général de l’Alliance militaire occidentale OTAN, car son principal adversaire, le président roumain Klaus Iohannis, a quitté la course jeudi (20 juin).
Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a accepté mercredi (12 juin) la demande de la Hongrie de ne pas participer au soutien militaire à l’Ukraine, le pays promettant en échange de ne pas entraver les décisions clés de l’Alliance en vue de consolider cette aide.
La Russie tente d’influencer les élections européennes et de diviser l’Occident, a averti le ministre italien des Affaires étrangères, alors que Vladimir Poutine veut rétablir des relations avec l’Italie une fois la situation en Ukraine « normalisée ».
Dans une déclaration publiée lundi (27 mai) dans la capitale bulgare, 24 membres de l’OTAN se sont engagés à ne plus accepter de restrictions à l’utilisation d’armes occidentales contre des cibles légitimes en territoire russe.
Le gouvernement italien s’est opposé à l’appel lancé par le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, pour que les alliés lèvent les restrictions sur l’utilisation d’armes fournies par l’Occident contre des cibles en Russie.
La pression exercée sur les États membres de l’UE pour fournir à l’Ukraine les systèmes avancés de défense aérienne dont elle a besoin de toute urgence est de plus en plus forte, mais les efforts s’enlisent en raison de la réticence de certains pays.
Selon le président lituanien Gitanas Nausėda, son homologue polonais Andrzej Duda aurait pu influencer la position de l’ancien président américain Donald Trump sur l’Ukraine lors de leur récente rencontre à la Trump Tower.
Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a annoncé que les membres de l’OTAN envisageraient de renforcer les liens avec les nations du Moyen-Orient et d’Afrique et établiraient une nouvelle stratégie d’ici le mois de juillet.
Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a confirmé mercredi que les membres de l'Alliance envisageraient de jouer un rôle de coordination plus important dans les livraisons d'aide militaire à l'Ukraine et d'offrir à ce pays de nouvelles possibilités de financement.
Les membres de l’OTAN envisagent de transférer la coordination des livraisons militaires à l’Ukraine d'une structure ad hoc vers l'institution de l'alliance atlantique et de créer un fonds de 100 milliards d’euros afin de garantir un soutien à long terme et de faire face à tout changement politique majeur.