Le ministre des Affaires étrangères croate Goran Grlic Radman a précisé mercredi les motifs des priorités qu'elle s'est fixé. Si le Brexit reste au coeur des débats, la question de l'élargissement est un sujet plus propre aux Balkans.
Les dirigeants de l’Union européenne ont chaleureusement applaudi la ratification historique par le parlement grec de l’accord sur le changement de nom de la Macédoine. Il met fin à un conflit vieux de 27 ans dans les Balkans.
La victoire du parti de droite grec Nouvelle démocratie sur le parti Syriza d’Alexis Tsipras aux prochaines élections montrerait que la montée des populistes en Europe n’est pas irréversible, selon le candidat du Parti populaire européen, Manfred Weber.
Condamné pour corruption, l’ex-Premier ministre en fuite Nikola Gruevski demande l’asile politique à la Hongrie. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
Malgré une participation très faible, les responsables européens ont déclaré que le résultat du référendum en Macédoine sur le changement de nom du pays était une « occasion historique ». Un article d'Euroefe.
Gjorge Ivanov a annoncé le 23 septembre qu’il ne participerait pas au référendum du 30 septembre sur l’accord trouvé avec la Grèce. Selon lui, changer le nom du pays nuit aux intérêts nationaux. Un article d’Euroefe.
Les pays de l’Union européenne ont décidé de reporter d’au moins un an leur décision sur un éventuel feu vert à des négociations d’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine à l’UE, la France et les Pays-Bas ayant réclamé au préalable de nouvelles réformes au sein de l’UE.
Grèce et Macédoine ont signé un accord préparant un changement de nom historique, qui clôt un conflit bilatéral et ouvre la voie de l’OTAN et de l’UE à Skopje.
Athènes et Skopje ont résolu un conflit de près de 30 ans sur le nom de la Macédoine, s’accordant sur « République de Macédoine du nord » et ouvrant ainsi la voie à l’adhésion du pays à l’UE et l’OTAN.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, soutient les efforts du parti macédonien d’opposition, qui refuse la solution proposée au conflit nominal opposant Skopje à Athènes. Orbán a a ainsi salué le refus du parti de céder à « la pression des puissances étrangères ».
Le commissaire européen à l’élargissement estime que le conflit toponymique entre la Grèce et l’Ancienne République yougoslave de Macédoine (ARYM) pourrait être résolu dans les deux prochaines semaines.
Les manifestations se multiplient suite à la reprise des négociations entre les deux pays pour régler le conflit vieux de 27 ans. Un article d'EurActiv Polska.
Skopje a assoupli sa position sur le nom Macedoine, pour mettre un terme au conflit avec la Grèce. L'exécutif européen salue cette évolution et attend des résultats concrets.
Malgré les déclarations rassurantes de Bruxelles, plus d'un quart des citoyens des Balkans ne croient plus à l’adhésion de leurs pays à l’UE, selon l’étude 2017 du baromètre des Balkans.
Exclusif. Le ministre grec des Affaires étrangères estime que l’UE doit cesser de céder aux impulsions de la Turquie et être plus sévère, notamment sur la question chypriote.
Le Parti populaire de centre-droit (PPE) est satisfait du nouveau rapprochement entre Skopje et Athènes. Les deux parties veulent en effet débloquer l’entrée de la Macédoine à l’OTAN et ouvrir les négociations d’adhésion à l’UE. Certains eurodéputés PPE appellent toutefois à la prudence.
Les nouveaux dirigeants macédoniens sont déterminés à relancer le dialogue bloqué pour l’adhésion à l’UE et à l’OTAN. Le 12 juin, ils ont promis de renouer des relations avec la Grèce et la Bulgarie et de mettre en œuvre des réformes longtemps différées.
Zoran Zaev, le Premier ministre macédonien, semble vouloir apaiser le conflit qui l’oppose à la Grèce. Un différend qui bloque son adhésion à l’UE et à l’OTAN.
L’UE encourage les pays des Balkans occidentaux à créer un marché commun, qui pourrait créer plus de 80 000 emplois dans une région où le chômage reste élevé.
L'ambassadeur russe auprès de l'UE, Vladimir Chizhov, s'interroge sur la gestion des crises en Macédoine et au Kosovo par la Commission européenne. Il regrette que son pays soit accusé d'interférer au Monténégro.
Federica Mogherini, représentante européenne pour les affaires étrangères, revient d’un déplacement dans les Balkans occidentaux, où les six pays candidats à l’adhésion font face à une pression accrue.
Johannes Hahn, commissaire à l’élargissement, a salué les progrès réalisés par les pays des Balkans occidentaux en vue de leur adhésion et assuré que l’UE « ne serait jamais complète » sans eux.
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