Croissance, exportations, tourisme, les voyants sont au vert. Le pays sort de la récession après le coup d'arrêt de 2008. Mais les salaires ont baissé et les contrats courts se multiplient. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
Le chef du gouvernement conservateur Mariano Rajoy, coulé par un scandale de corruption, a été renversé vendredi par le Parlement, après plus de six ans au pouvoir en Espagne, et remplacé par le socialiste Pedro Sanchez.
Priština « comprend » la décision du Premier ministre espagnol de ne pas participer au sommet UE-Balkans occidentaux à Sofia, mais souligne que « le Kosovo n’est pas la Catalogne ».
La plupart des dirigeants européens se sont engagés à augmenter leur contribution nationale au budget européen après 2020. Mais les fonds dédiés aux agriculteurs et à la politique de cohésion seront néanmoins réduits.
L'ancien président de la Catalogne Artur Mas a annoncé mardi qu'il quittait la tête du Parti démocrate européen catalan (PDeCAT) afin de laisser la place à de nouveaux responsables du mouvement séparatiste, sur fond de dissensions internes dont les médias se sont fait l'écho.
Au lendemain des élections, le leader de l’indépendance catalane a demandé au Premier ministre Rajoy de le rencontrer « n’importe où sauf en Espagne », où un mandat d’arrêt l’attend, lui et quatre autres membres de son cabinet.
Ensemble, les partis indépendantistes ont obtenu une majorité absolue de sièges lors des élections régionales du 21 décembre. Pourtant, c’est le parti « unioniste » Ciudadanos qui est arrivé en tête de ce scrutin.
L’ancien président catalan, Carles Puigdemont, s’en est pris à l’Union européenne le 7 novembre, soutenu par environ 200 maires indépendantistes venus à Bruxelles. Un article d’Euroefe.
Le président catalan déchu, Carles Puigdemont, ne rentrera pas en Espagne tant qu’il n’aura pas reçu des assurances quant à un procès juste, mais ne demandera pas l’asile politique en Belgique.
Alors que le gouvernement espagnol est déterminé à suspendre les pouvoirs du gouvernement catalan, tous les dirigeants européens se sont rangés derrière Madrid. Seul le Premier ministre belge Charles Michel appelle au dialogue et à la modération.
Le gouvernement espagnol a constaté jeudi le refus du président régional catalan, Carles Puigdemont, de répondre à la demande de restituer l’ordre constitutionnel et est décidé à prendre des mesures légales pour revenir à la légalité. Un article d’Euroefe.
La Commission européenne a exprimé sa « confiance » envers toutes les forces politiques œuvrant à trouver une solution à la situation en Catalogne dans le cadre de la constitution espagnole. Un article d’Euroefe.
Le président catalan Carles Puigdemont a donné un discours flou sur l'indépendance régional. Le lendemain, Madrid demandait des clarifications à l'exécutif catalan avant de prendre une décision. Un article de notre partenaire, La Tribune.
Mariano Rajoy a réclamé mercredi une clarification au gouvernement autonome de Catalogne et évoqué l'article 155 de la Constitution qui permettrait à Madrid de suspendre l'autonomie de la région.
Pris entre deux feux, le président séparatiste catalan Carles Puigdemont a signé mardi soir une déclaration d'indépendance qu'il a immédiatement suspendue.
Alors que Carles Puigdemont s’exprime aujourd’hui devant le parlement, le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a assuré qu’il « fera tout ce qui est en son pouvoir » pour empêcher l’indépendance de la Catalogne. Un article d’Euroefe.
L’UE finira bien par accepter de jouer le médiateur dans la séparation de la Catalogne de l’Espagne, et par reconnaître un nouvel État catalan dans l’UE, assure Joan Maria Piqué dans une interview avec Euractiv.
Madrid a rejeté la proposition catalane de remédier à un médiateur international pour tenter de rétablir la « confiance minimum » après les heurts qui ont marqué le référendum d’indépendance, le 1er octobre.
Au lendemain du référendum marqué par des violences en Catalogne, le sommet de l'Union européenne a lancé lundi de premiers appels pour pousser Madrid au dialogue et à éviter désormais le recours à la force.
Des milliers de Catalans sont descendus dans la rue mercredi après l'arrestation d'une douzaine de membres du gouvernement de cette région du nord-est de l'Espagne qui veut organiser un referendum d'autodétermination interdit par la justice.
Mariano Rajoy, le Premier ministre espagnol, n’a sans doute pas du tout apprécié que Jean-Claude Juncker assure que la Commission respecterait l’issue du référendum d’indépendance catalane, qui aura lieu le 1er octobre.
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