Relance du ferroviaire, régulation climatique des transports et réduction des pollutions automobiles font partie des priorités de Karima Delli, réélue à la tête de la commission transport du Parlement européen. Entretien exclusif avec notre partenaire le Journal de l'Environnement.
La candidate à la présidence de la Commission a répondu aux questions du groupe des socialistes et démocrates au Parlement européen. Le vote des eurodéputés sur sa candidature s'annonce serré notamment en raison des divisions au sein des socialistes.
En quête de respectabilité, le Rassemblement national et ses alliés se heurtent au refus des autres groupes politiques de les inclure dans le système de répartition des postes clés au sein du Parlement.
Le Parlement européen va devoir se prononcer sur le paquet de nomination proposé le 2 juillet par le Conseil, qui met fin au système des spitzenkandidaten, âprement défendu par les eurodéputés. Le clap de fin du Conseil n’a pas soulevé...
L’élection du président du Parlement européen devait se tenir lors de la session inaugurale à Strasbourg, le 3 juillet. Mais l’indécision des chefs d’État et de gouvernement tétanise l’assemblée européenne.
Les eurodéputés de gauche et écologistes ont décidé de ne pas se rendre à la rencontre organisée par le gouvernement français, refusant de faire front derrière un projet français au côté des élus du Rassemblement national.
Réclamée par les deux groupes, la collaboration accrue entre élus socialistes et écologistes au sein du Parlement européen se heurte à la grande coalition formée autour de Jean-Claude Juncker.
Une enquête classant les parlementaires européens en fonction de leurs interventions au sein du Parlement révèle que les chefs de file des groupes politiques font partie des eurodéputés les moins actifs.
Les principaux groupes politiques européens se sont mis d'accord sur les thèmes de ces comités de réflexion qui transcendent les partis politiques. Sans pouvoir législatif, ils sont souvent utilisés comme relais par les lobbys.
La motion de censure déposée par les europhobes au Parlement européen a été soumise au vote jeudi 27 novembre à midi. Elle a été rejetée par 461 voix contre 101, soit un résultat opposé au but initial : le président de la Commission est conforté.
En 3h50 chrono, mardi 25 novembre, le pape François doit délivrer deux messages, l’un aux représentants élus des 28 États-membres au Parlement européen, l’autre aux représentants nommés des 47 États du Conseil de l’Europe.
L’eurodéputé continuera de siéger avec les députés de l’UMP au Parlement européen, en tant que membre individuel, malgré son exclusion du parti politique. Un compromis qui lui permet de conserver sa place au sein du PPE.
Le choix du futur président de l'exécutif européen n’a motivé que 5% des votants lors des dernières élections européennes en mai 2014. Seuls l'Allemagne et le Luxembourg - pays d'origine des deux principaux candidats - ainsi que l'Autriche ont montré un intérêt légèrement supérieur.
Sur les 74 eurodéputés français, 30 occupent un emploi en plus de leur mandat d’élu, selon la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), qui doit maintenant partir à la chasse aux mauvais élèves.
L'eurosceptique Nigel Farage devrait reformer son groupe au Parlement européen, grâce à Robert Jaroslaw Iwaszkiewicz du Congrès de la Nouvelle droite polonaise. Un parti raciste, révisionniste et sexiste.
La dissolution du groupe eurosceptique Europe de la liberté et de la démocratie directe (EFDD) mené par le britannique Nigel Farage a redistribué les cartes au sein du Parlement européen. Les non-inscrits représentent maintenant la "troisième force".
Après avoir privé le groupe eurosceptique EFDD de la présidence d'une commission au Parlement européen en juillet, les groupes pro-européens ont une nouvelle fois fait front commun face à Nigel Farage lors de la distribution des présidences de délégation.
L’eurodéputée Front de gauche tire un premier bilan critique des auditions des futurs commissaires. Et craint que les nombreuses tractations entre les grands groupes du Parlement européen durant les examens de passage n’augurent un affaiblissement de l’institution.
Le président du Parlement européen a fait parvenir à M. Juncker une série de 22 questions écrites supplémentaires pour Pierre Moscovici, qu'EURACTIV. fr s'est procurée. Le ton agressif des questions reflète le scepticisme des élus européens.
Le pouvoir d'initiative législative revient en théorie au collège des 28 commissaires européens. Mais la concentration des pouvoirs aux mains de 7 d'entre eux plus le président de la Commission risque de changer la donne.
Selon un organigramme révélé par EURACTIV.com, la France serait à la Concurrence, l'Allemagne au Commerce et le Royaume-Uni à l'Energie dans la future Commission Juncker.
L'idée d'un poste de vice-président à l'investissement, un thème majeur de la future Commission, est dans l'air. Peu nombreuses parmi les candidates, les femmes pourraient rafler les postes de Haute représentante aux affaires étrangères et de présidente du Conseil.
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