Il est nécessaire de garantir une approche ciblée de l'édition génétique car toutes les techniques génomiques ne confèrent pas les avantages de durabilité promis dans la nouvelle étude de la Commission européenne, ont averti les législateurs de l'UE.
L’Europe devrait embrasser les biotechnologies novatrices pour augmenter la production alimentaire tout en réduisant l’impact environnemental, estime le vice-président de la commission agriculture au Parlement européen.
Certains au sein de la Commission européenne souhaitent lancer une « large réflexion » sur les nouvelles techniques de sélection des plantes, que certains considèrent comme des « OGM cachés ».
Le Conseil d'État a décidé lundi 3 octobre de surseoir à statuer sur de nouvelles techniques de modifications génétiques des plantes accusées de produire des « OGM cachés » échappant à toute réglementation, préférant interroger d'abord la Cour de justice européenne.
Les politiques européens soutiennent la recherche, mais ne tiennent pas compte de ses résultats quand ils sont « politiquement malvenus », estime Richard Roberts, prix Nobel de physiologie et médecine.
L'assimilation des nouvelles techniques de sélection des plantes à des OGM mettrait les PME en danger, assure l'association européenne de vente de céréales.
Exclusif. La Commission européenne tente d'éviter un nouveau désaccord avec Washington sur la réglementation des nouvelles techniques de sélection des plantes.
La Commission européenne a encore retardé l’analyse juridique tant attendue qui déterminera si les nouvelles techniques de sélection des plantes doivent être considérées comme des OGM.
Les agriculteurs bio tirent la sonnette d'alarme sur les conséquences économiques et environnementales « désastreuses » que pourraient avoir les nouvelles techniques de sélection des plantes pour le secteur agricole européen.