L’Agence européenne de défense (AED) aidera la Banque européenne d’investissement (BEI) à identifier les projets de défense à privilégier lors de ses investissements afin de garantir la cohérence des priorités.
Lors de son premier discours en tant que secrétaire général de l’OTAN, l’ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte a insisté sur la nécessité pour les États membres de l’alliance militaire de dépenser davantage pour la défense.
Le soutien à l’Ukraine, la refonte des mécanismes de défense collective de l'Alliance et l’augmentation des dépenses de celle-ci représentent les temps forts des dix années passées par Jens Stoltenberg à la tête de l’OTAN, alors qu’il passe le relais à Mark Rutte ce 1er octobre.
Le Néerlandais Mark Rutte prend ses fonctions en tant que secrétaire général de l’OTAN ce mardi 1er octobre, et bien que ses cinq premières tâches sont claires et sans surprises, elles ne seront pas faciles à mener à bien.
Fonctionnaires et diplomates s'efforcent de déterminer le coût de la réforme de la défense de l’Union européenne (UE), tout comme les industriels et les gouvernements nationaux, alors que les négociations budgétaires des prochains mois s'annoncent houleuses.
Le ministre lituanien de la Défense, Laurynas Kasčiūnas, appelle à une augmentation des dépenses de défense à hauteur de 4 % du PIB, avec pour objectif d’acquérir des systèmes de défense aérienne à longue portée et d’autres équipements militaires.
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken, en visite en Pologne ce jeudi 12 septembre, n’a pas confirmé que les États-Unis autoriseraient les Ukrainiens à tirer des missiles fournis par l’Occident pour viser le territoire russe. Il a toutefois laissé cette possibilité ouverte.
Un objet non identifié portant une écriture cyrillique, initialement considéré comme un ballon, est tombé à quelques mètres de la frontière biélorusse, ce qui constitue un nouvel incident de ce type au cours des derniers mois.
Renaissance, le principal mouvement pro-russe de Bulgarie, a appelé le pays à quitter l’Union européenne et à rejoindre le groupe des BRICS, où Moscou exerce une influence prépondérante.
Selon le ministre polonais des Affaires étrangères, Radosław Sikorski, Varsovie doit abattre les missiles russes au-dessus de l’Ukraine avant qu’ils ne pénètrent dans son espace aérien. Une mesure déjà exclue par le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg.
Lors d’une conférence à Prague ce week-end, Ursula von der Leyen a insisté sur l’importance stratégique croissante de l’Europe centrale au sein de l’UE et sur le rôle de la région dans la mise en place de nouvelles capacités de défense européenne.
La Pologne consacrera 4,7 % de son PIB à la défense en 2025, soit une augmentation de 0,6 point de pourcentage par rapport aux dépenses 2024, selon les projets de budget dont les médias polonais ont eu connaissance.
Alors que la Bulgarie traverse une longue crise politique, le ministre de l'Intérieur est accusé par le président Roumen Radev d'entretenir des liens avec le crime organisé. Ce dernier demande la démission de Kalin Stoyanov, avant de lancer l'organisation des législatives anticipées.
En Bulgarie, le soutien à l’adhésion à l’OTAN a grimpé en flèche depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, il serait passé de 28 % à 40 % au cours des sept dernières années selon un récent sondage, qui révèle également un déclin du soutien envers la Russie.
Une base militaire située à proximité de l’aéroport de Cologne a temporairement été fermée mercredi 14 août. Les soldats ont été invités à ne pas consommer l’eau du robinet, les autorités enquêtant sur un éventuel sabotage, a indiqué l’armée allemande.
Une deuxième présidence de Donald Trump contraindrait probablement l’Europe à augmenter ses dépenses sécuritaires. Cette situation inciterait également le gouvernement allemand à assumer davantage de responsabilités au sein de l’UE à ce niveau.
Face aux critiques internes, le chancelier allemand, Olaf Scholz, a soutenu mercredi 24 juillet la nouvelle position belliqueuse du pays en matière de défense, affirmant que le contexte appelle à une dissuasion renforcée plutôt qu’à un contrôle des armements.
Alors qu’une cinquantaine de dirigeants européens se réunissent aujourd'hui (18 juillet) au Royaume-Uni sous la coupe de la Communauté politique européenne, il est de plus en plus clair que le groupe peine à justifier son existence.
Si les dirigeants de l’OTAN ont salué le succès du sommet de cette semaine à Washington, ils ont néanmoins tenté d’écarter les inquiétudes concernant l’avenir de l’alliance suite aux résultats des élections présidentielles américaines de novembre.
Alors que les élections législatives françaises laissent planer le doute sur la forme que prendra le prochain gouvernement, le président Emmanuel Macron a assuré aux alliés de l’OTAN et à l’Ukraine que Paris restait dévoué à ses engagements internationaux en matière de sécurité.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a rencontré l'ancien président américain et candidat à la présidentielle de novembre Donald Trump dans sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, après le sommet de l'OTAN.
Pour la première fois depuis 2008, le communiqué final de l’OTAN n’a pas fait référence à la future adhésion de la Géorgie, reflétant la récente détérioration des relations avec Tbilissi liée à l'adoption de la loi controversée sur les « agents étrangers ».
Les dirigeants de l’OTAN ont soutenu la voie « irréversible » de l’Ukraine vers l’alliance militaire occidentale, comme prévu mercredi (10 juillet), mais ils se sont abstenus de présenter un calendrier et un cadre concrets.
Le ministre allemand de la Défense pourrait être contraint d’édulcorer le nouveau modèle de conscription censé être introduit en 2025, après que des ministres du Parti libéral-démocrate ont déclaré qu’ils ne soutiendraient pas les éléments obligatoires du plan.