Le président français a présenté ce mardi (12 octobre) le plan d’investissement « France 2030 » qui vise à soutenir l’innovation et accompagner la transition du monde industriel, des secteurs de l'agroalimentaire et de la santé pour répondre aux grands défis du temps.
Candidat de la gauche à la présidence de la Commission, l’ancien ministre grec des finances, Yanis Varoufakis, a appelé l’UE à cesser de diaboliser la Chine et à prendre ses responsabilités dans ses relations commerciales.
Le volontarisme de l’UE en matière d’investissements dans les pays ACP est confronté à la concurrence féroce de la Chine, moins préoccupée par la démocratie et l’État de droit.
Le besoin massif d’investissement dans les pays en développement ne peut être comblé par le seul secteur public. L’implication du privé est donc clé pour atteindre les Objectifs de Développement Durables, estime Neven Mimica, commissaire à la coopération internationale.
Le président de la Commission Jean-Claude Juncker souhaite doubler la mise du plan d’investissement de l’UE, appelé aussi Plan Juncker. Il fait toutefois face à l’opposition farouche de l’Allemagne. Un article de notre partenaire Der Tagesspiegel.
Exclusif. Le commissaire européen au développement, Neven Mimica affirme que le nouveau plan d’investissement externe annoncé par l’UE pourrait mobiliser jusqu’à 88 milliards, si les Etats membres y participent.
La Commission a annoncé qu'elle doublerait les fonds du plan d'investissement et renforcerait le projet de l'Union des capitaux des marchés pour relancer l'économie.
La Parlement européen est parvenu à réduire la contribution des programmes européens au plan Juncker d’un milliard d’euros. Au terme de négociations marathon, la gouvernance du projet a aussi été renforcée.
Le gouvernement de coalition va investir 15 milliard d'euros sur 5 ans pour renforcer la capacité d'investissement des collectivités locales. Un article d'EURACTIV Allemagne.
Pour encourager les États membres à participer financièrement au plan Juncker, la Commission s’est engagée à sortir leurs contributions éventuelles du calcul de leur déficit. Mais les régions craignent que la clémence de Bruxelles ne détourne l’argent public des fonds structurels.
Les régions françaises veulent prendre part au plan Juncker, dans lequel elles voient une opportunité pour financer certains de leurs projets. Elles n'ont pour l'heure guère été consultées sur le sujet.
La Commission européenne a promis plus de marge budgétaire aux États membres qui participeront financièrement au plan d’investissement européen de 315 milliards d’euros.
Face à la menace d’une stagnation durable de l’économie européenne, le plan d’investissement proposé par le Président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker doit être salué. Mais il ne suffira pas à ranimer l’investissement de façon pérenne au niveau nécessaire.
Les dirigeants européens ont validé jeudi 18 décembre à Bruxelles le plan d'investissement présenté par la Commission. Mais les Etats membres restent divisés sur la question des contributions nationales.
Un groupe d'économistes encourage l’UE à changer de tactique macroéconomique. «On compte les pingouins alors que la banquise fond » accuse le président de l'OFCE.
La réunion, à Bruxelles, des chefs d’États européens les 18 et 19 décembre doit faire le point sur le plan Juncker. France et Italie arrivent avec des points de vue différents sur le sujet.
Pour faire émerger un contrat social européen, un rapport de France Stratégie suggère d'avancer en matière d'assurance chômage commune, de salaire minima global et d'investissements.
Le groupe des socialistes et démocrates juge les 315 milliards du plan Junker insuffisants et défend un véritable « New Deal » de 1000 milliards d'euros, à quelques jours du sommet des 18 et 19 décembre qui doit se pencher la question.