Le Royaume-Uni a toujours eu un rapport conflictuel avec les ambitions de défense de l’UE. Pourtant, le pays souhaite continuer à participer aux programmes de défense de l’UE.
23 États membres ont décidé de mettre en place une plus coopération militaire. Mais les intérêts industriels nationaux et la lenteur du processus créent des interférences, surtout entre Berlin et Paris. Un article de notre partenaire, Der Tagesspiegel.
Sauli Niinistö, le président finlandais, n’est pas opposé à une politique étrangère commune, qui ferait de l’UE un véritable interlocuteur sur la scène internationale. Il expose sa vision de la sécurité à la frontière Est de l'UE à notre partenaire, Gazeta Wyborcza.
La République tchèque veut intégrer le noyau dur de l’UE, mais pas sa monnaie. Prague souhaite plutôt se concentrer sur la défense commune. Un article d’Euractiv République tchèque.
La mise en place d'une coopération permanente en matière de défense représente un pas en avant inédit. Emmanuel Macron, qui assistait à son premier sommet européen, a souligné le rôle de Jean-Claude Juncker en tant qu’architecte du projet.
La chef de la diplomatie de l’Union européenne, Federica Mogherini, a annoncé lundi à Bamako une aide de 50 millions d’euros pour permettre aux pays du G5 Sahel de créer une force conjointe destinée à lutter notamment contre la menace djihadiste.
La défense commune apparaît désormais comme une priorité absolue à l’agenda européen. Elle permettrait aux Etats-membres d'économiser de l'argent tout en organisant une défénse plus efficace.
La Russie a déployé des missiles de croisière visant l'Europe occidentale, ce qui constitue une violation du traité de 1987 sur les Forces nucléaires intermédiaire, a déclaré un général américain le 8 mars.
Le QG militaire que l’UE veut mettre en place dans le cadre de l’Union de la défense est une initiative qui prend de l’importance avec le changement de l’équilibre des forces dans le monde. Une interview d'Euractiv Allemagne.
À une époque d’instabilité croissante, l’UE ne peut se contenter de constater la réduction de son pouvoir militaire, elle doit agir, selon Joseph Daul.
L'Union européenne a adopté lundi une feuille de route pour renforcer sa défense, au moment où l'élection de Donald Trump fait redouter à certains un désengagement des Américains de la protection militaire de l'Europe.
Le Royaume-Uni, même en dehors de l'Union européenne, restera opposé « à toute idée d'une armée européenne » car l'OTAN doit rester « la pierre angulaire de la défense de l'Europe », a déclaré mardi le secrétaire d'État britannique à la Défense, Michael Fallon.
La défense ne peut plus seulement relever du niveau national. Une défense européenne serait plus puissante que la somme de ses composantes. Elle doit donc être mise en place dès aujourd’hui, et inclure davantage de coopération dans l’innovation, les capacités de pointes, la recherche et la technologie, estime Jorge Domecq.
Dans son discours sur l’état de l’union, Jean-Claude Juncker a proposé de donner de nouvelles responsabilités à la Haute Représentante pour les affaires étrangères et de lancer une réelle union pour la défense, en collaboration avec l’OTAN.
Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement français, plaide pour une « logique de Défense commune » en Europe face à la menace terroriste. Le gouvernement souhaite développer « des coordinations, des armées européennes, des factions communes ».
L'Allemagne et la France ont exprimé mercredi le souhait de bâtir une coopération européenne plus étroite en matière de défense après le départ programmé du Royaume-Uni qui, selon Berlin, a « paralysé » de telles initiatives par le passé.
Jean-Claude Juncker a déclaré que l'UE avait besoin de sa propre armée, pour faire face à la menace russe. France et Allemagne sont les seuls grands pays à le soutenir dans ce projet. Un article du réseau EURACTIV.
L'Union européenne a besoin d'une armée pour faire face aux menaces, notamment celles qui émanent de la Russie, ainsi que pour restaurer la position de force du bloc dans le monde, a indiqué Jean-Claude Juncker, le président de la Commission.
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