Lors de son ultime conférence de presse, le président sortant de la Commission européenne a dit regretter l’échec du système du « Spitzenkandidat », qui lui avait permis de décrocher le poste en 2014.
La Hongrie n'est pas prête à créer des sociétés mixtes, a rappelé le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, dont le pays est farouchement opposé à une politique migratoire européenne. Une interview d’Euractiv Croatie.
Le Parlement européen va devoir se prononcer sur le paquet de nomination proposé le 2 juillet par le Conseil, qui met fin au système des spitzenkandidaten, âprement défendu par les eurodéputés. Le clap de fin du Conseil n’a pas soulevé...
Le sommet des 28 a été ajourné dans un climat d’amertume le 1er juillet après près de 18 heures de négociations sur la distribution des postes clés. En cause ? L’opposition du PPE et des Etats membres de l’Est.
Malgré une nuit de négociations, les chefs d’État et de gouvernement étaient toujours incapables de trouver un consensus sur la répartition des postes clés de l’UE.
La crispation allemande autour de la candidature de Manfred Weber à la tête de la Commission européenne relève largement d'enjeux de politique intérieure.
Divisés, les dirigeants de l’UE ne sont pas parvenus à un accord sur les hauts postes de l’UE, et ont décidé de repousser le choix du futur président de la Commission au 30 juin, lors d’un nouveau sommet.
Les premières lignes de bataille ont été tracées par les États membres sur le remplacement de Jean-Claude Juncker en tant que président de la Commission européenne lors du conseil informel en préparation du sommet de juin.
Le choix du prochain président de la Commission doit se faire selon le système de Spitzenkandidaten, insistent les présidents des groupes parlementaires, malgré l’opposition des libéraux.
Tête de liste du Parti populaire européen, candidat à la présidence de la Commission européenne, l'Allemand Manfred Weber sort de son silence sur les questions environnementales comme le changement climatique.
Les élections européennes marquent le départ d’une course pour les plus hautes fonctions de l’UE, sans nécessairement en choisir les vainqueurs. Explications.
Les six principaux candidats à la présidence de la Commission ont défendu leurs visions de l’Europe le 15 mai. Ils se sont notamment affrontés sur l’emploi et le changement climatique.
Les dirigeants européens ont accepté un sommet d’urgence juste après les élections, le 28 mai, à la demande de Donald Tusk, qui veut régler la question de la nomination des présidents de la Commission et du Conseil en juin.
Les chefs d’État et de gouvernement des 27 ont adopté dix engagements assez vagues pour les cinq prochaines années. Cette déclaration de Sibiu, en Roumanie a ouvert un sommet informel dédié à l’avenir du bloc européen.
Le deuxième débat entre les principaux candidats des quatre grandes familles politiques pro-européennes aux élections européennes a à nouveau été étrangement peu controversé.
Cinq candidats à la présidence de la Commission européen ont participé à un premier débat électoral, un peu insipide en l’absence du représentant du plus grand groupe politique, Manfred Weber.
Frans Timmermans espère former une majorité progressiste après les élections européennes, en ralliant certains libéraux de l’ALDE. Et compte ainsi tendre la main au parti d’Emmanuel Macron.
Pour la première fois, un débat télévisé a opposé une douzaine de candidats aux élections européennes. Mais avec 84 % d'hommes et des sujets loin des préoccupations des Français, l'effort du service public pour parler d'Europe est-il efficace ?
Le président du PPE a rencontré le Premier ministre hongrois Viktor Orbán et appelé le dirigeant populiste à présenter ses excuses pour sa campagne anti-Juncker.
Pour le Parti populaire européen, il est évident que les principes d’état de droit doivent être défendus, estime son chef de file, Manfred Weber, qui assure à Euractiv Pologne qu’il n’y aura pas d’exception pour Viktor Orbán.
Les dirigeants du S&D, des Verts et du GUE/NGL se sont réunis pour discuter d’une possible stratégie commune à l’approche des européennes de mai 2019. L'idée serait de contrer les néolibéraux et l'extrême-droite.
Les Verts et La République en Marche ont beau partager une vision similaire du projet européen, Reinhard Bütikofer, le président des Verts, n’envisage de collaboration que si elle se fait dans l’égalité.
L’eurodéputé tchèque Jan Zahradil sera le Spitzenkandidat du groupe des Conservateurs et réformistes européens (CRE). Il est affilié à l’ACRE, un mouvement conservateur et eurosceptique.
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