À la suite de la suspension des comptes Twitter et Facebook de Donald Trump, la Commission européenne a déclaré qu’il n’était plus acceptable pour les géants des réseaux sociaux de prendre des décisions de telle ampleur de leur propre chef.
Donald Trump a-t-il réussi là où tout le monde avait échoué avant lui ? Responsabiliser les réseaux sociaux ? Difficile de savoir la portée de ce qui vient de se produire à la suite de l’assaut du Capitole à Washington mais l’effet de domino est saisissant. Un article de notre partenaire Ouest-France.
L’Union européenne appelle les géants du Net à en faire davantage pour lutter contre l’« énorme vague de désinformation » suscitée par la pandémie de coronavirus.
Facebook permettra aux médias « dignes de confiance » de générer des revenus supplémentaires sur son site, suite aux accusations de l’UE d’ingérence russe dans la campagne électorale européenne du mois dernier.
YouTube applique « un parti pris systémique en faveur du maintien du contenu », bien que la plateforme ait récemment supprimé plus d'un million de vidéos dans le cadre du code de conduite de l'UE contre la désinformation.
La commission justice du Parlement européen a voté une obligation pour les plateformes en ligne de supprimer les contenus terroristes dans l’heure suivant leur signalement.
Facebook vient de prendre une série de mesures destinées à empêcher l’intervention de campagnes étrangères dans les élections nationales. Au grand dam de certains groupes politiques européens.
Pour respecter pleinement le code de conduite de la Commission, les plateformes vont devoir endiguer la propagation des faux comptes tout en donnant plus d’accès aux vérificateurs de faits.
Selon l’ambassadeur des États-Unis auprès de l’UE, l’État russe mène une campagne de désinformation « subtile et insidieuse » pour « affaiblir l’engagement américain en Europe ».
À l'approche des élections européennes, l’agence européenne de cybersécurité appelle à des lois nationales contre les fake news, alors que la lutte des plateformes contre la désinformation demeure lacunaire.
La mise en ligne de données privées d'un millier de responsables politiques allemands, dont la chancelière Angela Merkel n'a pas concerné l'Afd. La Russie est montrée du doigt.
Les eurodéputés ont voté le 6 décembre pour plus de transparence et d’équité sur les plateformes en ligne. Mais l'enjeu de la régulation des systèmes d’exploitation fait débat.
Facebook, Google ou Twitter vont mettre en œuvre le code de pratique contre la désinformation élaboré par Bruxelles. Mais son efficacité est déjà questionnée.
Exclusif. Les services numériques qui collectent les données utilisateurs, comme Facebook ou Gmail, seront bientôt soumis aux règles de protection des consommateurs et les infractions soumises à des sanctions.
Le groupe d’experts de la Commission européenne sur les fake news veut que les réseaux sociaux, comme Facebook ou Twitter, soient plus transparents sur leurs revenus publicitaires.
Les plateformes Internet feront désormais face à une potentielle menace juridique si elles ne suppriment pas les contenus à caractère terroriste dans l’heure suivant leur publication.
Pour faire respecter les règles sur la protection des données, la Commission envisage de renforcer son arsenal de sanction. Une réforme qui vise notamment Facebook et Twitter.
Alors que la loi allemande sur la modération des contenus est entrée en vigueur, Macron vient d'annoncer un projet de loi contre les fake news. Le Royaume-Uni et l’Italie, réfléchissent également à durcir leur arsenal juridique. Un article de notre partenaire La Tribune.
Les « fake news » sont une maladie contre laquelle l’Europe doit se « vacciner », estime Mariya Gabriel, commissaire au numérique, qui vient de lancer une consultation publique sur la manière dont l’UE devrait réagir.
Facebook et YouTube intensifient leur lutte contre les contenus haineux. Toutefois, les discours de haine ciblant les musulmans, les migrants et les juifs sont encore trop fréquents. Un article du partenaire d’Euractiv République tchèque, Aktuálně.
Les fausses informations ont envahi les réseaux sociaux, principale source d'information des jeunes. Pour y remédier, les eurodéputés veulent chercher des solutions dans l'éducation, plutôt que dans le contrôle technologique.
Un nouveau projet de loi allemand prévoit de condamner à une amende pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros les médias sociaux qui ne suppriment pas les discours haineux. La Commission européenne réfléchit à une proposition similaire.
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