L’UE s’est montrée hésitante mercredi (6 janvier) à l’idée de recourir à des sanctions commerciales contre le Vietnam, après l’annonce faite par le pays de lourdes condamnations visant des journalistes.
Une vague de protectionnisme et d’obstacles au libre échange a déferlé sur l’économie mondiale en 2018 et menace la croissance économique en 2019. Même si d’autres conflits sont attendus, il y a toutefois des raisons d’espérer.
Face à l’unilatéralisme américain, plus de 50 pays d’Europe et d’Asie ont mis de côté leurs différends pour promouvoir la coopération multilatérale lors d’un sommet à Bruxelles.
Le 8 février dernier, les principales économies asiatiques ont annoncé leur intention de continuer à renforcer leurs liens avec l'Union des 27 après le Brexit, et ce, en dépit d'une possible ouverture du marché britannique.
Le Nigéria a pointé du doigt les travers des accords de partenariat économique que l’UE négocie avec les pays d’Afrique, du Pacifique et des Caraïbes. Mais la commissaire Cecilia Malmström a écarté toute réouverture des négociations.
Exclusif. Le gouvernement britannique semble penser que les économies en plein développement des pays de l’ASEAN vont se battre pour conclure des accords avec un Royaume-Uni post-Brexit. Il n’en est rien.
Un nouvel environnement juridique émerge autour de la politique commerciale de l’UE. La compatibilité des accords commerciaux avec la question des droits de l’Homme est de plus en plus examinée par la médiatrice et la Cour de Justice.
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Mella Frewen, directrice générale de FoodDrinkEurope
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Susan Danger, PDG de la Chambre américaine de commerce auprès de l’UE (AmCham EU)